Pour faire un bon boudin:
Eloignez-vous,
repliez-vous sur vous-même,
croisez les bras,
baissez la tête,
froncez les sourcils,
pincez les lèvres,
bougonnez légèrement,
tournez la tête quand on vous parle…


C’est bon!
Vous le tenez…
le boudin parfait!

Bizarrement les enfan’farons n’ont pas besoin de recette pour faire du bon boudin.

Certains sont même particulièrement doués en la matière!
(je faisais clairement parti de ceux là, avec petit supplément susceptibilité! 😂)

Ce boudin là, je vous le disais,
C’est le boudin parfait…

Celui qu’on remarque.
Celui qui fait culpabiliser parfois
Celui qui agace d’autres fois
Celui qu’on ne veut pas renforcer mais qu’on ne sait comment accompagner!

Parce que oui…
Les bouderies doivent être “accompagnées”
comme la colère, la tristesse, la joie et les autres émotions!

Certains disent qu’il ne faut pas donner d’attention aux bouderies, 
au risque de les renforcer…
(je suis d’accord avec eux!)

D’autres disent qu’il ne faut pas ignorer les bouderies,
au risque d’augmenter le sentiment d’incompréhension…
(je suis d’accord avec eux!)

Selon Isabelle Filliozat
les bouderies cachent même de véritables souffrances.

A partir de là, comment faire???
Comment faire pour trouver le juste équilibre entre ignorance et renforcement?

C’est ce que je vous explique dans une nouvelle antisèche:
“Mon enfant boude pour un rien”.
Je vous aide à décrypter ce langage sans mot…

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Et vous?
Vous aimez le boudin?

Je vous souhaite un bon vendredi et un bon week-end,
Marine 💖

PS: Les bouderies ne concernent pas que les petits…